UN CHAMPIONNAT COMME AUCUN AUTRE !
Aimé, adoré, vilipendé, jalousé, critiqué, copié, le Championnat du Monde du Cheval Arabe de Paris change parfois de forme, mais jamais de valeurs. Excellence, beauté, compétition, qualité… Au-delà des mots, ce sont bien les savoir-faire du monde du cheval arabe qui sont à l’honneur et à l’unisson !
Plus de 100 chevaux, plus de 25 pays, plus de 2.000 personnes présentes, de nombreuses personnalités, des propriétaires engagés, des éleveurs performants, des chevaux au top… Voilà la radiographie d’un championnat hors pair, hors norme, mais jamais hors sol tant devenir champion demande d’efforts. Le cheval arabe n’est pas un cheval comme un autre.
C’est pourquoi il mérite le meilleur et revient dans son sanctuaire : le Parc des Expositions de la Porte de Versailles, à Paris.
Retour donc à la capitale les 6, 7 et 8 décembre 2024, après une édition 2023 décentrée à Doha.
La participation à ce championnat est un gage de renommée et de valorisation. Seuls les meilleurs sont autorisés à concourir.
Pendant ces trois jours la France va accueillir le monde…le monde du Cheval Arabe.
6 au 8 décembre 2024, 10h00 - 17h00
Ouverture des inscriptions à partir de septembre 2024.
UN ÉVÉNEMENT À NE PAS MANQUER !
Le championnat, et nous en sommes conscients, a été pendant trop longtemps « confiné ». Non par son manque d’ambition, mais parce que par confort, par habitude, nous étions heureux de nous retrouver entre experts et autres personnes engagées. Nous avions oublié, à force de la côtoyer, l’attractivité majeure du cheval arabe, qui lui-même n’est pas un cheval comme un autre.
En effet, notre équidé fétiche est désormais l’objet d’une intense compétition.
Génétique, attention, dressage, caractéristiques de développement, aptitude, tenue, beauté, excellence… le cheval arabe ne joue pas dans la même cour que d’autres chevaux. Il ne s’agit pas de dénigrer qui que ce soit, mais bien de montrer les fortes qualités de notre cheval passion, de notre cheval de compétition, de notre cheval-séduction !
Voilà, le monde du cheval arabe, de la Pologne au Qatar, de la Belgique au Maroc, des Etats-Unis aux Emirats, d’Israël à la Tchéquie, d’Autriche à l’Arabie Saoudite et j’en passe, a fait le choix nécessaire non de dépassionner les foules mais de les rassembler… autrement.
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